25 novembre, Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes : Violences de genre, violences sociales. On n’en veut pas, on les combat !
Manifestations et mouvements, ont su imposer ces violences de genre comme le reflet d’un système reposant sur les inégalités de genre. Mais à l’image de la crise climatique, les violences de genre sont sous-estimées et mises au second plan des priorités politiques. Et certains osent encore dire qu’on est allé.es trop loin !
Nous ne reculerons pas! 26 novembre: manifestation contre la violence envers les femmes et personnes LGBTQIA+.
Rdv à 13h30 à Bruxelles-Central.
Les allocations sociales ne doivent pas dépendre de la personne avec laquelle on vit
Le PS propose de mettre fin au statut de cohabitant qui pénalise les personnes bénéficiant d’allocations sociales. La grande absente de ce débat est cependant la cohabitation légale qui ne semble pas avoir été prise en compte par la proposition du PS. Seule est concernée la cohabitation de fait.Un point aveugle qui désavantage les femmes.
Démission de Sarah Schlitz : la droite instrumentalise ses faiblesses
En forçant Sarah Schlitz à la démission, les réactionnaires ont encore pris en confiance. Conscient ou non, le mensonge qui pose problème, c’est de faire croire que sans lutte collective, nous pourrons avoir de véritables avancées ; qu’il suffit d’avoir la bonne personne au bon endroit…
« La femme, la vie, la liberté » : Quel programme pour une révolution iranienne victorieuse?
Les manifestations de masse actuelles pourraient être le début de la fin du régime des Mollahs, elles pourraient aussi déclencher une vague de protestations dans toute la région.
Aux origines du 8 mars | Clara Zetkin, figure du féminisme socialiste international
Clara Zetkin demeure une figure inspirante dans l’histoire du socialisme et de la lutte pour l’émancipation des femmes.
En action le 8 mars : sans lutte, pas de conquête féministe
Pas de capitalisme sans sexisme ! Pas d’émancipation des femmes sans socialisme.
Féminisme socialiste : luttons pour la régularisation !
On estime qu’il y a 150 000 sans-papiers en Belgique, dont près de la moitié sont des femmes. Nous devons nous unir pour la régularisation de tous-tes les sans-papiers afin qu’elles/ils bénéficient des mêmes droits que les autres travailleurs-ses et ne puissent plus être instrumentalisés pour aggraver les conditions de vie de toute la population.