Selon nous, la culture du viol ne peut pas être réduite à une question de genre. Pouvoir circuler en sécurité, ne pas se faire harceler à l’école, sur les réseaux sociaux ou au boulot, avoir la possibilité d’effectuer de réel choix, ce ne sont pas des privilèges. Cela devrait être des droits ; droits pour lesquels nous devons lutter – ensemble !